mercredi 16 mars 2022

 

Ne pas confondre la cupidité et le capitalisme :

 

Définition : Le capitalisme désigne un système politique et économique reposant sur la propriété privée, notamment des moyens de production, le libre échange sur des marchés et la libre concurrence.


 Intro : Salut à tous. Avant de m’exprimer, je voudrai être sûr qu'il n’y a pas d'amalgame,  je crois qu'il faudrait bien différencier la cupidité et le capitalisme. La cupidité, l'obsession pour la monnaie, l'argent à tout prix, soif de pouvoir et destructrice de l'amour et de la compassion. La cupidité, deuxième péché capital après l'orgueil, va détruire le monde. Le capitalisme c'est juste un système économique et politique caractérisé par la liberté d'échange et la prédominance des capitaux privés. De là est parti la course au profit et le nécessité de s'imposer aux autres par des pratiques parfois illicites autant que douteuses sur le plan de la déontologie et de l’éthique. Mais le vrai problème est que la cupidité, (ce besoin d'argent à tout prix) a gangrené tous les systèmes, toutes les castes sociales. Tout le monde a l'heure actuelle est sous l'emprise de cette obsession. Un conditionnement qui s'est déclaré, je pense, depuis la révolution industrielle où les machines ont remplacé l'homme dans les usines, où les petits commerces se sont fait écrasés par les centres commerciaux. Pareil pour l'agriculture et dans tous les domaines même politique où la population qui ne ramène pas d'argent ne compte pas pour le gouvernement ...Cupidité, le mal absolue de notre destruction...


     On m’a déjà dit que j’étais anticapitalisme car je râle souvent sur l’anormalité de l’existence de la super-richesse.

Comment un être humain peut-il être multimilliardaire, (qq qui pèse plusieurs milliards de milliards de dollars). Du grand n’importe quoi… Enorme…En sachant que + de 90 % est enfermé dans des coffres et ne servira jamais à rien ni à personne. Ni à leur entourage, ni à leur ville (ou village), ni à leur pays…A rien et à personne.

Je trouve bizarre que l’on accepte de créer des lois pour le mieux vivre ensemble. On se délimite par des lois (pour la justice par exemple) ou des principes (pour la morale). On est tous d’accord pour dire que ces règles son nécessaire pour une vie commune. Sans limite, ce serait le chaos…On essaie toujours du mieux que l’on peut pour respecter ou faire respecter ses règles de vie. Alors pourquoi, il n’y a pas de limite concernant l’accumulation de biens financiers. Contre l’ultra richesse. Un plafond, tous ce qui dépasse revient à la municipalité, ou à son gouvernement.

Rien à voir avec la richesse, là on parle d’aberration qui n’amène rien …

 Bref ; pour en revenir au capitalisme, il faut d’abord le définir pour comprendre son fonctionnement car malheureusement beaucoup trop de gens s’en serve d’alibi pour cacher leur soif obsessionnelle pour la monnaie. Une soif de profit et de pouvoir.

 Le capitalisme individuel est un mode de vie louable car chacun a le droit de construire sa vie et de vouloir mettre les siens à l’abri du besoin. Le top du top étant de créer son entreprise et devenir son propre patron. Il gère son argent, il le contrôle. Pour lui, c’est un moyen d’avancer et d’évoluer pas un but à atteindre, le vrai but étant de s’imposer ou d’imposer le nom de son entreprise au sein de la société.

Pour le capitaliste, l’argent est une récompense mue a un effort donné, une récompense au mérite. Un capitalisme sait dépenser et profiter de ces biens avec sa famille et ses proches. Son but étant leur confort. Il profite de ces moments.

 La cupidité (Grave péché capital) n’est pas un mode de vie. Elle n’est même pas un mode de pensée, c’est une maladie mentale, une obsession. Du matin au soir, le cupide rêve de profit, d’accumulation des richesses. Toujours plus, mais au détriment des proches. D’ailleurs une personne cupide a tellement perdue son humanité qu’elle est capable de tuer ses propres enfants pour de la monnaie. On voit tellement de famille déchirée lors d’un héritage. C’est malsain, et cela détruit les cœurs. Le pire c’est quand cette cupidité devient un baromètre a l’humeur (on en a, on est heureux, il n’y en a pas on est triste, voire dépressif).

 Le vrai problème est que la cupidité envahie le monde et s’est étendue depuis l’âge de l’essor industrielle. Puis juste au début du remplacement de l’homme par des machines (Ce qui a mis des millions de milliards d’employés au chômage à travers le monde). Elle atteint à l’heure actuel, tous les niveaux de notre vie.

Cette obsession touche tout le monde, toutes les classes sociales à tous les niveaux. Industriel, médical (pharmacologie …), l’état, et même la police (référence aux policiers en colères qui cachaient les radars. Leur supérieur n’ayant rien à faire de la sécurité, pour eux les emplacements sont choisis pour un max de profits financiers et non pas pour la sécurité routière)

 Le cupide amène l’avarice (autre péché capital), lui ne dépense rien, il préfère se faire inviter et manger à tous les râteliers, plutôt que de dépenser un centime pour les autres. S’il doit inviter du monde chez lui, c’est uniquement par intérêt. D’ailleurs tous ses amis sont triés, et identifiés selon l’intérêt et l’avantage qu’il peur t en tirer. (Un électricien, un plombier, ça peut être utile, réparation gratuite…)

  Bref, une citation résume bien la situation ;

" L’argent est un très bon serviteur mais un très mauvais maitre" 

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