Ne
pas confondre la cupidité et le capitalisme :
Définition : Le capitalisme désigne un système
politique et économique reposant sur la propriété privée,
notamment des moyens de production, le libre échange sur des marchés et la
libre concurrence.
Intro : Salut à tous. Avant de
m’exprimer, je voudrai être sûr qu'il n’y a pas d'amalgame, je crois qu'il faudrait bien différencier la cupidité et le capitalisme. La cupidité, l'obsession pour la monnaie, l'argent à tout
prix, soif de pouvoir et destructrice de l'amour et de la compassion. La
cupidité, deuxième péché capital après l'orgueil, va détruire le monde. Le
capitalisme c'est juste un système économique et politique caractérisé par la
liberté d'échange et la prédominance des capitaux privés. De là est parti la
course au profit et le nécessité de s'imposer aux autres par des pratiques
parfois illicites autant que douteuses sur le plan de la déontologie et de
l’éthique. Mais le vrai problème est que la cupidité, (ce besoin d'argent à
tout prix) a gangrené tous les systèmes, toutes les castes sociales. Tout le
monde a l'heure actuelle est sous l'emprise de cette obsession. Un
conditionnement qui s'est déclaré, je pense, depuis la révolution industrielle
où les machines ont remplacé l'homme dans les usines, où les petits commerces
se sont fait écrasés par les centres commerciaux. Pareil pour l'agriculture et
dans tous les domaines même politique où la population qui ne ramène pas
d'argent ne compte pas pour le gouvernement ...Cupidité, le mal absolue de
notre destruction...
On m’a déjà dit que j’étais anticapitalisme car je râle souvent sur
l’anormalité de l’existence de la super-richesse.
Comment un être humain peut-il être multimilliardaire,
(qq qui pèse plusieurs milliards de milliards de dollars). Du grand n’importe
quoi… Enorme…En sachant que + de 90 % est enfermé dans des coffres et ne
servira jamais à rien ni à personne. Ni à leur entourage, ni à leur ville (ou
village), ni à leur pays…A rien et à personne.
Je trouve bizarre que l’on accepte de
créer des lois pour le mieux vivre ensemble. On se délimite par des lois (pour
la justice par exemple) ou des principes (pour la morale). On est tous d’accord
pour dire que ces règles son nécessaire pour une vie commune. Sans limite, ce
serait le chaos…On essaie toujours du mieux que l’on peut pour respecter ou
faire respecter ses règles de vie. Alors pourquoi, il n’y a pas de limite
concernant l’accumulation de biens financiers. Contre l’ultra richesse. Un
plafond, tous ce qui dépasse revient à la municipalité, ou à son gouvernement.
Rien à voir avec la richesse, là on parle
d’aberration qui n’amène rien …
Bref ; pour
en revenir au capitalisme, il faut d’abord le définir pour comprendre son
fonctionnement car malheureusement beaucoup trop de gens s’en serve d’alibi
pour cacher leur soif obsessionnelle pour la monnaie. Une soif de profit et de
pouvoir.
Le
capitalisme individuel est un mode de vie louable car chacun a le droit de
construire sa vie et de vouloir mettre les siens à l’abri du besoin. Le top du
top étant de créer son entreprise et devenir son propre patron. Il gère son
argent, il le contrôle. Pour lui, c’est un moyen d’avancer et d’évoluer pas un
but à atteindre, le vrai but étant de s’imposer ou d’imposer le nom de son
entreprise au sein de la société.
Pour le capitaliste,
l’argent est une récompense mue a un effort donné, une récompense au mérite. Un
capitalisme sait dépenser et profiter de ces biens avec sa famille et ses
proches. Son but étant leur confort. Il profite de ces moments.
La cupidité (Grave péché capital) n’est
pas un mode de vie. Elle n’est même pas un mode de pensée, c’est une maladie
mentale, une obsession. Du matin au soir, le cupide rêve de profit, d’accumulation
des richesses. Toujours plus, mais au détriment des proches. D’ailleurs une
personne cupide a tellement perdue son humanité qu’elle est capable de tuer ses
propres enfants pour de la monnaie. On voit tellement de famille déchirée lors
d’un héritage. C’est malsain, et cela détruit les cœurs. Le pire c’est quand
cette cupidité devient un baromètre a l’humeur (on en a, on est heureux, il n’y en a pas on est triste, voire
dépressif).
Le
vrai problème est que la cupidité envahie le monde et s’est étendue depuis l’âge
de l’essor industrielle. Puis juste au début du remplacement de l’homme par des
machines (Ce qui a mis des millions de
milliards d’employés au chômage à travers le monde). Elle atteint à l’heure
actuel, tous les niveaux de notre vie.
Cette obsession touche tout le monde, toutes
les classes sociales à tous les niveaux. Industriel, médical (pharmacologie …), l’état, et même la
police (référence aux policiers en colères
qui cachaient les radars. Leur supérieur n’ayant rien à faire de la sécurité,
pour eux les emplacements sont choisis pour un max de profits financiers et non
pas pour la sécurité routière)
Le cupide amène l’avarice (autre
péché capital), lui ne dépense rien, il préfère se faire inviter et manger à
tous les râteliers, plutôt que de dépenser un centime pour les autres. S’il
doit inviter du monde chez lui, c’est uniquement par intérêt. D’ailleurs tous
ses amis sont triés, et identifiés selon l’intérêt et l’avantage qu’il peur t
en tirer. (Un électricien, un plombier, ça
peut être utile, réparation gratuite…)
Bref, une citation résume bien la situation ;
" L’argent est un très bon serviteur mais un très
mauvais maitre"