III/ c) Axe Propension
Intro pour l’axe Propension
Si un jour, Dieu le veut, j’arrive à
rassembler toutes mes notes et mes schémas pour en faire un document relié, j’y
ajouterai un index pour expliquer le sens exact de chaque terme que j’ai
employé comme titre aux 13 vecteurs. Chaque mot qui définit un vecteur doit
être neutre. Ni positif, ni négatif.
Prenez
par exemple le vecteur « Forcé » à première vue sa définition semble
péjorative mais certains actes dans la vie ne sont pas naturels (pousser de la
fonte, allez en salle de sport, réviser un examen), ce sont des actions qui
nécessite des efforts soutenus, on doit se motiver et se forcé pour atteindre
certain objectif (no pain, no gain). Oui, il y a des choix à faire, des combats
à faire et on ne fait pas toujours ce que l’on veut on fait surtout ce que l’on
peut avec ce que l’on a.
Dans
l’amalgame « quand on veut on peut ». C’est un leitmotiv qui peut
aider à se motiver, pour un défi à faire mais ce n’est pas toujours suffisant
face à la vérité de la dure réalité. D’où la nécessité d’utiliser son cerveau
et ne pas suivre bêtement tous ces jolis panneaux qui fleurissent sur les
réseaux sociaux. La majorité signé « auteur inconnu » mais la plupart
sont des morceaux de situations enlevées de leur contexte initiale ce qui leur
donne un sens complétement différent. Bref, le pire et le plus stupide étant
pour moi celui-ci : « Pour avoir du succès, il suffit d’y croire »,
C’est grotesque. En premier lieu pour avoir du succès dans un domaine, il faut
être avant tout reconnu par ses pères, des professionnels expérimentés qui ont
déjà de la bouteille et qui, eux même, sont passés par là. Avoir du talent et
beaucoup de volonté ne suffit pas. Même parmi les enfants de star, ceux qui ont
du piston dans le milieu, il n’y a qu’une minorité qui perce vraiment. Bien
sûr, ça peut aider mais ce n’est pas la clé.
Et
celui-ci : « Pour être heureux dans la vie, il faut faire ce que l’on
veut ». Non, on ne fait jamais ce que l’on veut dans nos vies. Personne
sur cette planète n’a jamais fait 100 % de ce qu’elle a voulu dans sa vie. Pour
réussir ce tour de force, il faudrait ne pas vivre en société. Ne connaitre
personne, n’aimer personne. Libre comme l’air, sans loi, sans contrainte. Seul,
voire sans animaux de compagnie.
Sérieusement,
on a tous des responsabilités à assumer que ce soit en société, on se soumet où
des règles de vie (morale, justice) pour sa famille surtout quand on devient
parent (vecteur créateur). Assumer ses responsabilités, faire ses corvées,
c’est contraignant sue le moment mais après coup, on peut en ressentir une
grande satisfaction. Être heureux, c’est d’abord un état d’esprit, se sentir responsable
et utile est aussi une source de bien-être.
Pourtant ce qui paraît le plus sain est l'acte fait de façon
naturelle et le côté "forcé" reste dans nos esprits comme péjoratif.
Il fait penser à la contrainte, à l'obligation, aux corvées et à tout ce que
l'on ne fait pas de manière libre.
Forcé ou se forcer à … est-ce vraiment toujours négatif ? Non, pas du tout, des corvées quotidiennes pour l'environnement dans lequel on évolue (ménage, courses...) et pour soi-même (aller au travail, s'occupant des enfants). Ces obligations nécessaires sont positives dans le sens où elles nous permettent si ce n'est d'avancer tout au moins de vivre correctement.
Forcé ou se forcer à … est-ce vraiment toujours négatif ? Non, pas du tout, des corvées quotidiennes pour l'environnement dans lequel on évolue (ménage, courses...) et pour soi-même (aller au travail, s'occupant des enfants). Ces obligations nécessaires sont positives dans le sens où elles nous permettent si ce n'est d'avancer tout au moins de vivre correctement.
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