mercredi 18 mai 2022

sommaire des niveaux de pensées

 

Les niveaux de pensées

 

 

Premier tiers : Le Yin-Yang. (Réalité)

 

1/ Pensées originelles

2/ Pensées de groupe

3/ Pensées choisies

 

Deuxième tiers : L’énergie Universelle( Volonté)

 

1/ Comprendre le "Yin-Yang"

2/ Le choix de ne pas faire de choix (le Yon)

3/ Le bon déconditionnement

 

Troisième  tiers : Harmonie Cosmique( L’Amour)

 

1/ Transcender ses pensées

2/ 

3/ Connexion avec le Yung

mercredi 23 mars 2022

Yin & Yang par Yon dans Yung

 




Yon :

Neutralité. Le point commun qui relie deux opposés. Non-Action. La pensée ou l’action n’ont aucun effet, aucune conséquence réactive à leur existence. Connexion mais aussi l’arbitre qui régule l’équilibre entre deux choses. Symbole du 3°choix

Yung :

Ensemble du néant au Chaos. Monde du non-manifesté. L’endroit où tout est molécule. Immobilité et aucune existence propre. Lieu ou tout finit et ou tout recommence.

L’être humain n’y a pas accès. (Des voyants et mediums peuvent y avoir un aperçue éphémère et fugace)

 Yin & Yang :

Equilibre de l’univers. Deux forces opposées qui s’affronte (en mouvement), créant ainsi la vie. Symbole du combat et de la vie. Le petit point noir dans l’ensemble blanc et vice versa implique la sagesse et l ’humilité (rien n’est parfait à 100%.)

 

mercredi 16 mars 2022

 

Ne pas confondre la cupidité et le capitalisme :

 

Définition : Le capitalisme désigne un système politique et économique reposant sur la propriété privée, notamment des moyens de production, le libre échange sur des marchés et la libre concurrence.


 Intro : Salut à tous. Avant de m’exprimer, je voudrai être sûr qu'il n’y a pas d'amalgame,  je crois qu'il faudrait bien différencier la cupidité et le capitalisme. La cupidité, l'obsession pour la monnaie, l'argent à tout prix, soif de pouvoir et destructrice de l'amour et de la compassion. La cupidité, deuxième péché capital après l'orgueil, va détruire le monde. Le capitalisme c'est juste un système économique et politique caractérisé par la liberté d'échange et la prédominance des capitaux privés. De là est parti la course au profit et le nécessité de s'imposer aux autres par des pratiques parfois illicites autant que douteuses sur le plan de la déontologie et de l’éthique. Mais le vrai problème est que la cupidité, (ce besoin d'argent à tout prix) a gangrené tous les systèmes, toutes les castes sociales. Tout le monde a l'heure actuelle est sous l'emprise de cette obsession. Un conditionnement qui s'est déclaré, je pense, depuis la révolution industrielle où les machines ont remplacé l'homme dans les usines, où les petits commerces se sont fait écrasés par les centres commerciaux. Pareil pour l'agriculture et dans tous les domaines même politique où la population qui ne ramène pas d'argent ne compte pas pour le gouvernement ...Cupidité, le mal absolue de notre destruction...


     On m’a déjà dit que j’étais anticapitalisme car je râle souvent sur l’anormalité de l’existence de la super-richesse.

Comment un être humain peut-il être multimilliardaire, (qq qui pèse plusieurs milliards de milliards de dollars). Du grand n’importe quoi… Enorme…En sachant que + de 90 % est enfermé dans des coffres et ne servira jamais à rien ni à personne. Ni à leur entourage, ni à leur ville (ou village), ni à leur pays…A rien et à personne.

Je trouve bizarre que l’on accepte de créer des lois pour le mieux vivre ensemble. On se délimite par des lois (pour la justice par exemple) ou des principes (pour la morale). On est tous d’accord pour dire que ces règles son nécessaire pour une vie commune. Sans limite, ce serait le chaos…On essaie toujours du mieux que l’on peut pour respecter ou faire respecter ses règles de vie. Alors pourquoi, il n’y a pas de limite concernant l’accumulation de biens financiers. Contre l’ultra richesse. Un plafond, tous ce qui dépasse revient à la municipalité, ou à son gouvernement.

Rien à voir avec la richesse, là on parle d’aberration qui n’amène rien …

 Bref ; pour en revenir au capitalisme, il faut d’abord le définir pour comprendre son fonctionnement car malheureusement beaucoup trop de gens s’en serve d’alibi pour cacher leur soif obsessionnelle pour la monnaie. Une soif de profit et de pouvoir.

 Le capitalisme individuel est un mode de vie louable car chacun a le droit de construire sa vie et de vouloir mettre les siens à l’abri du besoin. Le top du top étant de créer son entreprise et devenir son propre patron. Il gère son argent, il le contrôle. Pour lui, c’est un moyen d’avancer et d’évoluer pas un but à atteindre, le vrai but étant de s’imposer ou d’imposer le nom de son entreprise au sein de la société.

Pour le capitaliste, l’argent est une récompense mue a un effort donné, une récompense au mérite. Un capitalisme sait dépenser et profiter de ces biens avec sa famille et ses proches. Son but étant leur confort. Il profite de ces moments.

 La cupidité (Grave péché capital) n’est pas un mode de vie. Elle n’est même pas un mode de pensée, c’est une maladie mentale, une obsession. Du matin au soir, le cupide rêve de profit, d’accumulation des richesses. Toujours plus, mais au détriment des proches. D’ailleurs une personne cupide a tellement perdue son humanité qu’elle est capable de tuer ses propres enfants pour de la monnaie. On voit tellement de famille déchirée lors d’un héritage. C’est malsain, et cela détruit les cœurs. Le pire c’est quand cette cupidité devient un baromètre a l’humeur (on en a, on est heureux, il n’y en a pas on est triste, voire dépressif).

 Le vrai problème est que la cupidité envahie le monde et s’est étendue depuis l’âge de l’essor industrielle. Puis juste au début du remplacement de l’homme par des machines (Ce qui a mis des millions de milliards d’employés au chômage à travers le monde). Elle atteint à l’heure actuel, tous les niveaux de notre vie.

Cette obsession touche tout le monde, toutes les classes sociales à tous les niveaux. Industriel, médical (pharmacologie …), l’état, et même la police (référence aux policiers en colères qui cachaient les radars. Leur supérieur n’ayant rien à faire de la sécurité, pour eux les emplacements sont choisis pour un max de profits financiers et non pas pour la sécurité routière)

 Le cupide amène l’avarice (autre péché capital), lui ne dépense rien, il préfère se faire inviter et manger à tous les râteliers, plutôt que de dépenser un centime pour les autres. S’il doit inviter du monde chez lui, c’est uniquement par intérêt. D’ailleurs tous ses amis sont triés, et identifiés selon l’intérêt et l’avantage qu’il peur t en tirer. (Un électricien, un plombier, ça peut être utile, réparation gratuite…)

  Bref, une citation résume bien la situation ;

" L’argent est un très bon serviteur mais un très mauvais maitre" 

dimanche 6 mars 2022

 

Bipolarité pour tous ?


Il y a deux personnalités en nous. C’elle qui nous est propre, profondément enfouie, et celle qui est plus superficielle et que l’on utilise tous les jours en société. La première façonnée par notre éducation et ce jusque dans notre entourage d’école primaire à lycée. A partir d’un certain âge, on passe le cap  l’étape où l’on est enfin capable de voler  de ses propres ailes, d’avoir ses propres choix à faire. (Les premiers ne seront surement pas les bons mais les erreurs servent d’expérience pour la suite.)

 


 Mais vivre en communauté c’est savoir faire des concessions, être libre en société ne signifie pas être libre. C’est juste que l’on soit indépendant et décisionnaire de son avenir, (notre liberté commence là  où s’arrête celle des autres.), ce qui n’est déjà pas si mal.

Notre personnalité la plus enfouie n’est pas inerte, elle créer des liens ou des murs, des connexions ou des rejets  avec ce qui nous semble bon ou mauvais. Une façon d’arriver à comprendre les autres, à tolérer ou d’éviter des conflits (on met de l’eau dans son vin).

Elle nous apprend surtout à anticiper nos propres réactions face aux évènements. (La vérité c’est puissant et indispensable et pourtant,  non, toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire. Le rire c’est libérateur et  génial mais non, on ne peut pas rire de tout)...

La plupart du temps, la personnalité superficielle prend le dessus et reste la principale. Elle limite les actions d’expiations et de défoulements puisque restreint vis-à-vis des autres. C’est un problème car on a tous besoin de temps à autre de pouvoir s’exprimer, de changer d’air (dépaysement, oxygénation, resourcement) et parfois de le faire savoir  au monde entier (réseaux sociaux, tchats, forums)...


 Etre vrai, soi-même, entier, et ne pas utiliser cette personnalité superficielle c’est aussi se mettre en danger. Il faut bien être conscient que la théorie du monde parfait est très belle sur papier mais elle n’existe pas. Il y aura toujours quelqu’un pour faire du mal et même gratuitement (certains prennent du plaisir aux malheurs des autres), sans intérêt de retour.

Il faut donc savoir se protéger des ignobles et des gens qui fatiguent (les fatalistes ; fluides négatifs) mais sans en faire une carapace indestructible (surprotection) qui nous empêcherais alors de se laisser aller avec des bonnes personnes (les fluides positifs).

 Finalement le bon équilibre, en et dans toute chose, est la clé ….

mardi 15 février 2022

On ne nait pas tous égaux...

Pas la peine de frimer, on nait tous égaux…Ou pas

 

On connait tous la phrases, « on nait tous égaux … » mais cette phrase est juste et primordiale uniquement pour notre vie en société. On a créé des lois, des codes pour pouvoir vivre en société, plus en sécurité, plus sereinement.

« Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. »

Pour ce qui est de l’être humain, c’est différent, on nait tous avec des compétences, des talents hétérogènes. Il y a beaucoup de domaines de connaissances distincts ; de sciences fondamentales, les arts libéraux de l’enseignement etc….  Différentes façons de vivre, de penser, d’agir. Toutes ses cultures si hétéroclites les unes des autres. Donc non, on ne nait pas tous égaux en aptitudes. On doit trouver celle(s) qui nous correspond le mieux et agir en conséquence. Ce qui nous permet de briller, d’assoir son nom et de s’imposer dans la société.

 

La domination positive, c’est celle qui nous concerne directement. Se dominer, savoir qui on est, ce qu’on aime, ce que l’on n’aime pas, ce que qu’on veut ou pas, etc... Se connaitre, et se dominer.

Sur les autres elle a aspect négative quand elle est recherchée comme un but à atteindre. (Vecteur naturel contre forcé), elle est positive quand elle est naturelle, qu’elle coule de source.  Par exemple : quand on se spécialise dans un domaine, on a, sans même sans rendre compte, une supériorité dans ce domaine. Un musicien qui connait par cœur son instrument est supérieur à un novice qui débute.

Et cela dans n’importe quel domaine que l’on maitrise à la perfection. Le problème récurrent est qu’une personne douée, un génie dans ce domaine, ne doit pas oublier qu’il existe d’autres domaines, d’autres sciences ou connaissance où lui-même est en infériorité. L’équilibre de l’Univers se fonde aussi sur cela. Supérieur, oui, a une connaissance spécifique, et complétement ignorant sur d’autre. Donc, pas la peine de frimer ou de se croire le maitre du monde. Si on prend tous les aspects, toutes les spécificités qu’ils existent dans ce monde, on se rend compte qu’au final, on est tous égaux. Ce sont juste les domaines de nos aptitudes (nos talents innés et connaissances acquises) qui nous différencies les uns des autres.

 

Mais beaucoup ne s’en rendent vraiment compte qu’au moment de leur mort.

 

Moyz.B


mardi 27 octobre 2020

Un message d'espoir , dans un monde en perdition...

 

Pourquoi faire un album a 48 ans ?

Je voudrai que cela soit perçu comme un message d’espoir :

 

·         D’abord, il n’y a pas d’âge pour réaliser ses rêves et aussi parce quand on travaille sa passion ou ses passions, on allume une flamme intérieure. Cette flamme, c’est notre âme qui brille, notre aura. Un onde positive qui fait du bien. Si tout le monde sur terre pouvait arrêter de vivre sa vie dans la routine monotone et faire une activité dans la journée qui procure du plaisir alors, le monde entier serait lumineux …

Attention, on ne parle pas de béatitude, ou de sourire à tout et n’importe quand, je parle d’une joie réelle, ressentie et intérieure.

 

·         Mais le monde va mal, très mal. A cause d’une crise sanitaire, on a réussi à assombrir tous ce qui fait la beauté des relations entre êtres humains. Les salutations, les bises, les poignées de main. On est même à distance. Distanciation sociale qu’ils ont appelés ça, les grands savants…

 

On perd pieds, ceux qui souffre de la solitude sont servi, Ceux qui ont besoin de leur sortie nocturne ou de bain de foule comme un concert, un festival ou un match de foot…niet ! Kaput…Finish, plus rien ne nous relie les uns autres, c’est triste sombres, déprimant…le monde entier sombre dans cette enfer de mélancolie, et de fatalisme sombre. Les milieux culturels sont en souffrance (un monde sans culture, c’est le retour à la barbarie, assurée) Sans oublier ceux de la nuit qui sont au point mort. Des restaurateurs ne font plus les soirées. Beaucoup de gens se retrouvent à mi-temps ou pire, sans travail. Des entreprises vont fermer…Un effondrement économique s’annonce. L’affliction de l’assombrissement vient de s’élever. Angoisse, incertitude du lendemain, aigreur, amertume, accablement. Tout est réunis pour faire de notre Terre un purgatoire.

 

·         Si on veut sauver ce monde en perdition, on n’a pas besoin de super-héros, on a besoin de rallumés notre flamme intérieure. Tous, tout le monde doit retrouver l’enthousiasme, la joie de vivre. Si la tristesse prend le dessus, on va droit dans le mur.

 

Il faut réaliser ses rêves pour se sentir plus fort et plus serein dans l’avenir et avoir la foi. La foi, c’est aussi avoir confiance au destin, aux lendemains meilleurs. Il faut que chacun de nous rallume sa petite flamme intérieure, recouvrer l’enthousiasme de la vie. Pour pouvoir avancer sans crainte. …


Moyz.B

samedi 30 mai 2020

En introduction des vecteurs


En préface…

Pourquoi deux vecteurs opposés sur un axe. On pourrait juste expliquer les différents traits de caractères…
Parce l’être humain n’est pas fixé dans le temps. Tous êtres vivants est en mouvement perpétuel, constamment, notre personnalité, notre environnement, notre état mental ou psychique peut changer du tout au tout. Le vecteur est symbole de mouvement, le plus proche de ce je tentais d’exprimer en voulant décrire le comportement humain. Attention, ceci n’est pas une étude scientifique mais juste une mise au propre de toutes les constatations que j’ai pu voir chez nous, les anthropiens…Juste un constat qui devrait au final se terminer par un schéma, douze axes qui se croisent en 3 dimensions. Le 13 + axe étant l’invisible, celui qui décide ou pas de l’action à faire. (Axe décisionnaire, action/ non-action) symbole de la neutralité, du chaos, du néant ou du non-manifesté. Une action non-réalisée peut inverser les conséquences voulues.

Mais, il est difficile de faire une introduction sur chaque vecteur, pour expliquer ce que fait ou ce que contribue à faire chacun, car en fait les vecteurs n’ont un sens réel que combiné avec un autre. C’est leur connexion et leur interactivité qui vont définir notre comportement et les conséquences de nos actions. Autre point important, chacune de nos actions à une influence différente sur 5 éléments primordiaux de notre existence. Là tête (la santé mental), le cœur (émotions et sentiments), les poumons (la santé physique), l’estomac (l’ambition), le sexe(l’action).

Exemple : Se faire plaisir ; soirée Cinéma seul chez soi et choisir un film que l’on a décidé soi-même de voir.  

Les vecteurs présent ; Solitude (choisie),  Objet (télé, canapé) , Réalité, Amour ( plaisir de…),  Usagers (VOD ou programme tv…), King ( faire ce que l’on décider) , Warrior ( passez a l’action), Unique (sans hésitation), Forcé ( faire le choix de …)   etc…. 


***


Chaque vecteur a une particularité, c’est qu’il a plusieurs niveaux, du négatif "-3", (destruction de son environnement), jusqu’au positif "+3" (destruction de soi-même). Paradoxalement, l’abus comme tous les excès est au sens négatif. Donc le "+3" devient la destruction de son corps, de son esprit ou de son âme selon l’action effectué.
Voici un exemple ;

Action extérieure (sur les autres)

AE+3 = Zèle- Trop en faire pour les autres
AE+2 = impose sa présence, pénibilité pour l’entourage
AI+1 = Harmonie avec soi-même. Niveau Positif. Aimé et respecté.

0 = Neutralité- Impartial

Action Intérieure (pour soi-même)

AI-1 = Niveau négatif ; mélancolie, mal dans sa peau
AI-2= Se victimiser, s’auto-dénigrer (sentiment d’infériorité)
AI-2= colère, violence ou frustration. Vengeance ou plaisirs sadiques
AI-3 = Destruction des autres, ou/et de son entourage


Conclusion :

Comme dit plus haut, ce n’est pas une étude scientifique, d’ailleurs je n’ai aucun diplôme donc je n’aurai jamais la prétention d’imposer quoi ce soit à qui ce soit, juste un constat. Je crois qu’il faudrait plus y voir comme un pense-bête, puisque le but final est la recherche du bonheur. Seulement, les 13 axes du comportements humains, n’est qu’une partie de cette recherche du bonheur.
D’autres parties vont suivre. Une partie sur les règles de vie comme "les 9 vertus contre les 9 péchés capitaux " [7+ celui qu’on oublié (la vaine gloire, devenu à la mode depuis le succès des réseaux sociaux et la vieillerie (les rabats joies, les éternels insatisfaits, les gens qui fatiguent)] ou comme la partie « A ne pas confondre », puisque beaucoup ont décidé de tout mélangé, ou de tout sortir de leur contexte.

mercredi 13 mai 2020

Intro pour l’axe Propension


III/ c) Axe Propension

Intro pour l’axe Propension

   Si un jour, Dieu le veut, j’arrive à rassembler toutes mes notes et mes schémas pour en faire un document relié, j’y ajouterai un index pour expliquer le sens exact de chaque terme que j’ai employé comme titre aux 13 vecteurs. Chaque mot qui définit un vecteur doit être neutre. Ni positif, ni négatif.
Prenez par exemple le vecteur « Forcé » à première vue sa définition semble péjorative mais certains actes dans la vie ne sont pas naturels (pousser de la fonte, allez en salle de sport, réviser un examen), ce sont des actions qui nécessite des efforts soutenus, on doit se motiver et se forcé pour atteindre certain objectif (no pain, no gain). Oui, il y a des choix à faire, des combats à faire et on ne fait pas toujours ce que l’on veut on fait surtout ce que l’on peut avec ce que l’on a.
Dans l’amalgame « quand on veut on peut ». C’est un leitmotiv qui peut aider à se motiver, pour un défi à faire mais ce n’est pas toujours suffisant face à la vérité de la dure réalité. D’où la nécessité d’utiliser son cerveau et ne pas suivre bêtement tous ces jolis panneaux qui fleurissent sur les réseaux sociaux. La majorité signé « auteur inconnu » mais la plupart sont des morceaux de situations enlevées de leur contexte initiale ce qui leur donne un sens complétement différent. Bref, le pire et le plus stupide étant pour moi celui-ci : « Pour avoir du succès, il suffit d’y croire », C’est grotesque. En premier lieu pour avoir du succès dans un domaine, il faut être avant tout reconnu par ses pères, des professionnels expérimentés qui ont déjà de la bouteille et qui, eux même, sont passés par là. Avoir du talent et beaucoup de volonté ne suffit pas. Même parmi les enfants de star, ceux qui ont du piston dans le milieu, il n’y a qu’une minorité qui perce vraiment. Bien sûr, ça peut aider mais ce n’est pas la clé.
Et celui-ci : « Pour être heureux dans la vie, il faut faire ce que l’on veut ». Non, on ne fait jamais ce que l’on veut dans nos vies. Personne sur cette planète n’a jamais fait 100 % de ce qu’elle a voulu dans sa vie. Pour réussir ce tour de force, il faudrait ne pas vivre en société. Ne connaitre personne, n’aimer personne. Libre comme l’air, sans loi, sans contrainte. Seul, voire sans animaux de compagnie.
Sérieusement, on a tous des responsabilités à assumer que ce soit en société, on se soumet où des règles de vie (morale, justice) pour sa famille surtout quand on devient parent (vecteur créateur). Assumer ses responsabilités, faire ses corvées, c’est contraignant sue le moment mais après coup, on peut en ressentir une grande satisfaction. Être heureux, c’est d’abord un état d’esprit, se sentir responsable et utile est aussi une source de bien-être.
Pourtant ce qui paraît le plus sain est l'acte fait de façon naturelle et le côté "forcé" reste dans nos esprits comme péjoratif. Il fait penser à la contrainte, à l'obligation, aux corvées et à tout ce que l'on ne fait pas de manière libre. 
Forcé ou se forcer à … est-ce vraiment toujours négatif ? Non, pas du tout, des corvées quotidiennes pour l'environnement dans lequel on évolue (ménage, courses...) et pour soi-même (aller au travail, s'occupant des enfants). Ces obligations nécessaires sont positives dans le sens où elles nous permettent si ce n'est d'avancer tout au moins de vivre correctement.


dimanche 10 mai 2020

Contact négatif


III / d) a/ . Contact négatif

Discipline de groupe ( sectes)

La recherche de la force et du pouvoir fait partie d’une motivation commune (peut-être d’origine anthropologique bien antérieure à nos ancêtres ou si cette volonté ne vient pas de l’origine de la création de nos sociétés). Quoi qu’il en soit la discipline de groupe est toujours fatalement à issue, dramatique et pourtant l’idée même de l’unité est belle. La solidarité, la communauté où tout le monde serait l’égal de l’autre et où tout le monde prendrait soin de chacun, tous pour un …
Une communauté où personne ne serait ridiculisé, ni lésé et formerait un synode parfait d’individus se considérants à égalité, comme des frères et sœurs (aimés vous les uns les autres). La théorie décrite dans le livre rouge est presque magnifique. Sauf que…Voilà c’est dit : le « presque parfait » fait toute la différence entre l’idéal paradis terrestre et le communisme mit en pratique dans la vie réelle. Parce que la raison est qu’elle est dirigée, contrôlée par un groupe d’individu qui veut être obéi et suivi dans la discipline la plus stricte. La manipulation d’une masse n’est rien et ne sera jamais l’égal de la liberté, de l’amour et du libre-arbitre. Bizarrement les personnes endoctrinées dans un groupe ressentent une énergie positive, élévatrice et se sentent fort, beaucoup plus fort que seul. Pourquoi serait-ce négatif alors ? parce que la vraie force et le vrai pouvoir n’appartient qu’à celui qui dirige ce groupe. Le contenu est bon mais la finalité est dévastatrice ? dévastatrice pour son mental personnel, pour sa confiance en soi, (on se repose sur les autres, automatisation de l’assistanat). Reste la dépendance a une doctrine, un mouvement social à sens unique. Heureusement, l’être humain n’est pas une machine, et l’endoctrinement n’est pas une constante définie. L’homme change, se transforme, toujours en mouvement. Un moment ou à un autre, il aura besoin de changement, de voir d’autre personne, de lieu ou de nouvelles aspirations.
Même si un tel clan lui a plu un certain temps, il lui faudra quitter le mouvement s’il veut s’épanouir. Il n’est pas aisé de quitter un groupe de personnes qui ont mis leur confiance et leur amitié entre vos mains. Soit, ils feront tout pour vous empêcher de faire votre vie ailleurs (prisonnier de leur clan contre votre volonté, pour votre bien que vous n’êtes plus apte à comprendre tout seul), soit leurs sentiments purs vous va se transformer en haine (sentiment de trahison, de mensonge) et vous deviendrez l’ennemie à abattre.
Peu de ce genre de groupuscule dans toute l’histoire de l’humanité n’a jamais tenu très longtemps même s’il s’en crée de nouveau toutes les semaines.
Car il y aura toujours un prédateur au pouvoir qui cherchera des brebis égarées à soumettre à son bons vouloir (assouvissement de désirs d’autoritarisme) en leur faisant croire que l’avenir sera extraordinairement lumineux avec lui. Il y aura toujours de par le monde des gens perdus, malheureux et désorientés qui auront besoin de ce faux soutien pour se relever ou se reconstruire.
Certains, les mieux avisés choisiront les disciplines non-endoctrinantes (voir chap. 1), les autres sombreront dans cette manipulation faite la plupart du temps par des gens charismatiques au bagou exacerbé. Ils parlent fort, semblent sur d’eux, savent apportés la sympathie des autres. En racontent des malheurs qu’ils ont vécu (vérité avec enjolivement du drame) des victimes de la société qui disent s’en être sorti avec un secret qu’eux seul connaissent mais qu’ils tiennent à partager sous couvert d’une dévotion total aux autres. Et leurs plus belles paroles pas toujours dénuées de sens peuvent endoctriner n’importe quelle âme soucieuse d’un avenir meilleur…

mercredi 6 mai 2020

l'énergie négative ; le stress



I/ 3) a/ énergie négative




Le lapin d’Alice est mort ce soir



Okay, I’m undersrtanding, but…why ?

De temps en temps par période, je m’inquiétais de ces trous noirs de l’inspiration. La page "blanche", alors je me demandais souvent pourquoi et comment mon inspiration disparaissait ainsi. Ma muse se jouerait-telle de moi ? Ça donnait ça :

«  Ai-je donc fait quelque chose qui la dérange ?
Est-ce la torpeur où ces jours-ci je me range ?
Est-ce pour cette raison que tu t’es enfuie ?
Près de mon âme assidue, revient mon amie… »

Voilà ce que j’aurais écrit si l’ampoule ne s’était allumée au fond de ma cervelle endormie. Mais en fait, non…Alléluia ! Et vive la vie !

Ben maintenant voilà, c’est bête comme chou
C’est évidemment pas plus aussi noir du tout
Car j’ai compris l’état de la page blanche
C’est pas…non, ce n’est pas un manque d’inspiration
Ce stress qui vient de soi, trop plein d’excitations
De mon ego lambda, poète du dimanche
L’art passionné acoquiné à la passion
Enn’mi  juré, inconcentrée concentration
Les éternels coups de foudre de bel amour
Démentiel rut en poudre des plus beaux jours

Vouloir tout satisfaire et tout en même temps
Au lieu de moins en faire et en avoir autant
Deux milles caractères, une seule ligne
Quand tout s’accélère, l’inverse conséquent
Panique délétère à tout traiter d’urgent
Réduire tout dictionnaire à un seul signe
Théologie, philosophie, tout style épart
Exothermie de l’Ethérie, tous les savoirs
Érudisme qui se dégonde, en dix secondes
Au tragédisme immondes des choses du monde



Nein, in meinem kopf, ich bin nicht verrückt…

Cette angoisse qui est là, tous les jours, de ce que nous avons été, seront et sommes toujours, traumatisés par cette affreuse bestiole et son horloge autour du cou, cauchemar de million de citadins … cauchemar du "J’ai pas le temps"… Inspirant profondément le : « écrire-penser-réfléchir-écouter-entendre-reproduire-lire-essayer-comprendre-aimer », tout mélanger, tout en même temps.

« Qu’ai-je donc pu faire qui me punisse autant ?
Dû-je l’avoir négligé, qu’ai-je donc omis ?
Quelle est la maladresse que j’ai pu commettre
De quelle faute grave, suis-je donc puni ? »

Du calme…Respire lentement…. Je veux le voir cuire dans un immense chaudron et briser sa satanée clepsydre sans eau en morceaux. Fini le syndrome de Lewis Caroll et je redonne un sens clair à mes mots…Asta pronto

Ce n’est pas que la jalouse est lâchée son poste
Mais plus tôt l’andalouse a invitée par post
Toutes ses copines à un’ rave dans ma tête
Stop ! Une seule là, me suffit largement
Eh, c’est qui le patron. Non mais oh ! Non vraiment…
Bordel psy sans nom, souk d’égérie en fête
Un amusement multi-connexe dans un complexe
Hallucinant !  Un réseau pur stress à mon cortex
Pour commencer, ouste allez ! Dehors mesdames
Déconnecter, il faut cesser tout ce vacarme

Reprendre chaque idée avec de l’attention
Puzzle à replacer, voilà la solution
Et rester appliqué, vivre avec ce qu’on a
Pas ce que l’on voudrait. Dans sa vie agir au lieu
De lui courir après, déjà, c’est beaucoup mieux.
Et classer ses fichiers, un projet à la fois
Dans ce dessein où finit l’un, naît l’épigone
Dans le certain but qui se tient. , Diam de carbone
Brique après brique, lentement mais surement
Stress défait, stress perdant, à bat le lapin blanc


Correndo atras de que ? Como pegar o passar do tempo

Non…non….comment ? Quelle phrase ? Non, je ne l’écrirais plus…
Okay, d’accord mais vous en prenez la responsabilité ; « J’ai pas le temps…j’ai pas le temps…» .

« Viens combler mon âme de ta présence
Illumine mon esprit, fleur de mon égérie
Près de ton dévoué qui te désespère
Comme si la joie était jetée au fond du puits ? »

L’être humain, n’utilise pas son cerveau pour aimer ni son estomac pour respirer, par contre son cœur affamé court après d’inaccessible amours, d’irréels caprices sans valeur existentiel. Quel gâchis…Le temps, c’est de l’argent ? Et l’amour c’est quoi, alors ?



Un polar qui s’altère en nouvelles imbriquées
C’est une pièce de théâtre dont l’idée
Se perd et sert de guide à l’intro d’un roman
C’est écrit, tout est là mais rien n’est à sa place
Noyé de création, bestioles de l’espace
Capharnaüm sans nom, textes se mélangeant
Avoir un blanc, sauter l’instant, perdre parfois
En même temps, c’est énervant, tout à la fois
Où l’ai-je mis ? Plusieurs P.C, clés U.S.B
Où est l’écrit qui le dernier fut corrigé ?
Phobie du déficient, sûrement dû à lui
Ce gibier insolent qui taraude l’esprit
Lorsque l’inspiration parvenue s’est perdue
Et que l’imagination s’est enfuie sans bruit
Rester en extase et stoïquement assis
Ecrire une phrase et puis bloquer dessus
Sans intérêt, mot dénué de sa valeur
Sans s’expliquer, être vidé de sa chaleur
Mais sachez bien ; que même avec et sans raison
Fastueux, le cœur plein, on n’en a pas l’air moins con


Agora eu tenho tempo .... eu tenho tempo !
Il est temps de prendre son temps, d’équilibrer la synchronisation de nos ondes créatrices. Je vois et me lance plus serein vers mes projets devenu plaisir au lieu du supplice :

« Excuse-moi de mon hésitation
J’ai cru te perdre et perdre la raison
Mais l’espoir et la confiance sont là
Les deux pouvoirs à pourvoir de la foi »

J’ai compris, alors je prends tout mon temps, le civet en sera que plus délicieux et l’avenir plus grand. Car le bonheur est là, tout autour de nous, en nous. Il y en a aussi à ramasser tout le long de nos chemins.

Affamé d’idoles et d’ Hi-Tech technologie
On kiffe sur les symboles du dernier cri
Acheter des gadgets, qui n’ont pas d’origine
Collection obsolète au bout de trois semaines
Outrecuidant d’acquits dont on a joui à peine
Étagères remplies de ces appareils « in »
Être à la mod’, saisir les codes être à la page
Quand la commode déborde, c’est gaspillage
Des caprices si obsédants, finalement
Perle de vices générant un océan
On a pas la mêm’ vie, on ne naît pas égaux
Il y a nos envies contre nos idéaux
On pense que l’on a une opinion sur tout
Et que l’on sait déjà voir tous les silences
Il n’y a pas un vrai qui cach’ son inscience
Le sage reconnaît qu’il ne connaît pas tout
Et tous ces rois qui nous laissent quelles richesses ?
Nous, ceux d’en bas. Ces castes en laisse à deux vitesses
Sont légions. Ces chefs à plastron sont dans le faux
Pourquoi sinon des religions servent de tombeaux ?

L’Harmonie est le plus beau de tous les desseins…

Dans ma tête, complexe tête, le lapin blanc est mort ce soir….

Aleluya…

sommaire des niveaux de pensées

  Les niveaux de pensées     Premier tiers : Le Yin-Yang. (Réalité)   1/ Pensées originelles 2/ Pensées de groupe 3/ Pensées c...